Connaissez-vous…
Judy Johnson chez O. Boucher ?
Et si on vous dit Mme Judy ou Mme Boucher…?
Tout le monde la connaît, elle est la voix d’O.Boucher… Vous la reconnaissez par sa voix. Si vous ne l’avez jamais vue, beaucoup d’entre vous lui avez fort probablement déjà parlé au téléphone.
Voici donc le portrait de notre Ambassadrice du mois de Mai.
Mme Judy passe son enfance en campagne dans les Cantons-de-l’Est, plus précisément dans le petit Village de Marlington sur la petite fermette familiale. « Ce n’était pas une ferme d’élevage ou une grosse ferme, c’était juste une petite ferme pour nous, pour avoir du lait et pour s’occuper des animaux. On aimait ça! » Elle me raconte d’ailleurs qu’elle aime prendre le temps de retourner dans les Cantons-de-l’Est avec sa sœur de façon régulière.
À l’école, c’est en comptabilité qu’elle suit sa formation. « À l’époque on apprenait encore avec une dactylo et un dictaphone », dit-elle en riant, « c’était vraiment tout un autre monde ». Son parcours la mène ensuite à Mirabel, où elle travaillera d’abord dans un golf, puis ensuite à l’Aéroport de Mirabel, au bureau des locations de voitures et au bureau des changes.
Puis, l’Aéroport de Mirabel cesse d’offrir des vols nolisés à ses clients et c’est donc à la fin de l’été 2005 que Mme Judy arrive chez O.Boucher. Elle s’occupe alors de la facturation et des dépôts. Elle est aussi accompagnée d’une collègue qui est en charge des comptes payables et de l’inventaire.
C’est en 2008, que le Groupe Riendeau fait l’acquisition de O. Boucher et Mme Judy se souvient d’un changement de dynamique. « Pas un changement négatif », nous assure-t-elle. Elle nous raconte alors : « Quand je suis arrivée, on était juste nous, les gens d’O.Boucher. Et tout d’un coup on arrive dans une compagnie avec une centaine d’autres employés, on fait affaire avec des collègues dans des établissements situés dans d’autres villes, c’est très différent ».
Pour vous mettre un peu en contexte, O.Boucher comptait (et compte toujours) une vingtaine d’employés. La clientèle de l’époque était surtout constituée de petites boucheries et de petits marchés locaux. « Ça faisait drôle! On était juste nous, et tout d’un coup on a des collègues de travail un peu partout, on se met à vendre partout au Québec, aux grosses chaînes de distribution et à faire de l’exportation. C’était vraiment impressionnant! »
Pas de journée type chez O. Boucher
Pour Mme Judy, on réussit toujours à s’adapter. Durant toutes ses années de travail chez O.Boucher, en plus de la facturation et des comptes payables, elle devient peu à peu responsable des factures, des dépôts, des sorties d’inventaire, des inventaires externes, du service à la clientèle, d’accueillir les clients, faire les commandes, les listes de prix, elle fait les ventes, elle fait tout. « On est très occupé, les journées passent très vite! Ça m’a pris quelque temps à m’adapter à faire plusieurs choses en même temps, mais j’ai appris à jongler avec tout ça! »
Le plus grand défi dans son travail selon elle? Quand tout arrive en même temps! « Le téléphone, les clients, la production qui demande quelque chose, il y a des périodes de la journée qui sont plus calmes, mais il y en a d’autre où on se demande si on va arriver. C’est certain que c’est stressant, mais depuis le temps que je le fais, on développe des trucs et des réflexes quand des périodes comme ça arrivent ». Selon elle, les qualités essentielles dans son métier sont la polyvalence, la bonne gestion des priorités et bien savoir gérer son stress. « Il faut pas paniquer, ça c’est sûr! Quand ça me stresse trop, je me lève, j’me dit ok, je m’en vais fumer une puff et ça m’aide à me calmer », elle éclate de rire en disant cela.
Pour elle, un autre défi est de ne pas voir certains de ses collègues des autres entreprises à qui elle parle tous les jours. « C’est difficile de ne pas voir tout le monde, il y a des gens à qui je parle au téléphone à tous les jours depuis plusieurs années et que je n’ai rencontré que tout récemment », dit-elle. « On s’imagine à quoi ressemblent les gens en se basant sur leur voix, puis quand on les voit, on se dit : ah non ça peut par être toi, je t’imaginais pas comme ça! », en disant cela, elle éclate de rire!
Un souvenir en particulier
En vingt ans, Mme Judy en a accumulé des souvenir. « Des souvenirs, des souvenirs… j’en ai beaucoup et beaucoup de rires et de niaiseries. On est une belle gang! » Elle continue de réfléchir et dit : « Ah! Il y a un souvenir en particulier… C’est drôle de dire ça, mais c’est quand j’ai eu mon nouveau bureau de travail! J’avais un très vieux bureau qui tenait avec du tape, et la journée où ils sont venus installer mon nouveau bureau blanc. J’étais vraiment contente. Ça c’est quelque chose qui m’a fait plaisir. Même les clients en arrivant remarquaient que j’avais changé de bureau. »
Mais c’est sans contredit l’ambiance de travail chez O.Boucher que Mme Judy apprécie. Elle raconte que ses collègues aiment beaucoup la taquiner. Comme elle est la seule dans les bureaux, lorsque les collaborateurs qui travaillent dans la production et l’entrepôt viennent faire un tour en avant, ils ne manquent pas une occasion de faire des blagues ou de la taquiner.
Sa famille, sa passion
Mme Judy a une passion, et c’est sa famille. Avec 4 enfants, 11 petits-enfants et 3 arrière-petits-enfants, elle n’a pas le temps de s’ennuyer et sait pleinement profiter du temps passé avec eux. « Mes arrière-petits-enfants, je les garde tous. Ça prend de l’énergie, mais j’adore ça c’est le fun. »